Si l’on connait déjà les bienfaits de la pratique d’une activité sportive sur la santé physique, il convient également de se pencher sur les effets positifs que ces activités peuvent apporter à la santé mentale.

Dans un premier temps, le sport permet de se maintenir en forme, par le maintien du poids. En effet, La pratique d’une activité physique entraîne une dépense d’énergie. En d’autres termes, le sport permet de rétablir l’équilibre entre dépense énergétique et apports énergétiques et permet ainsi de maintenir un poids stable.

De même, plus que de se maintenir en forme, pratiquer du sport permet également de réduire les risques de maladies, notamment chroniques cardiovasculaires ou bien encore des cancers. En pratiquant une activité physique, nous nous musclons, et nous développons et sollicitions également notre coeur, qui s’en verra renforcé.

Enfin, sur le plan physique, le sport permet de renforcer les os sur le long terme, réduisant ainsi les risques de blessures telles que les fractures. Lors du processus de renouvellement des os, au moment d’un impact, les diaphyses et épiphyses augmentent. Cela permet de mieux supporter les nouveaux impacts lors du renouvellement de l’activité physique. Au contraire, l’inactivité physique fragilise les os.

Mais comme expliqué précédemment, le sport est également essentiel pour la santé mentale. Il réduit le stress, l’anxiété et la dépression, en sécrétant des hormones telles que la dopamine ou l’endorphine, qui agissent directement sur le cerveau.
Les endorphines, par ailleurs, ont des vertus sur la douleur, et agissent afin de diminuer les émotions négatives comme le stress ou l’anxiété.

De plus, la pratique d’une activité physique et sportive permettrait d’accroitre ses capacités intellectuelles. En effet, lors de l’effort, le cerveau est oxygéné et cela améliore les performances cognitives. Plus la pratique est régulière, plus la lutte contre le vieillissement cognitif comme la maladie d’Alzheimer est efficace.

Attention toutefois à ne pas sur-pratiquer du sport. La sécrétion des hormones citées ci-dessus, agissant comme les effets d’une drogue, peuvent entrainer à une « addiction » du sport, connue sous le nom de bigorexie. Et causant un sentiment de stress et d’anxiété si une activité physique n’est pas pratiquée pendant une période plus ou moins déterminée.

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